Mme. Boulange : Bonjour, Madame Suvon. Je suis Henriette Boulange, je suis collègue du Commissaire Besson.
Mme. Suvon : Enchantée.
Mme. Boulange : Bon, j’ai quelques questions, aussi, mais ce n’est pas dure longtemps.
Mme. Suvon : Bien. Mais : j’ai déjà relaté tout à Monsieur Besson.
Mme. Boulange : Je sais, je sais. Alors : vous avez été à Cannes samedi, le 19. juin. Vous avez habité à l’hôtel à côte de la grande maison observée et le soir, vous avez lu un livre dans le jardin après d’hôtel. Vous avez observé notre deux suspects dangereux.
Mme. Suvon : C’est ça. Mais … Pourquoi ” la maison observée ” ? Qui a observé la maison ?
Mme. Boulange : Commissaire Besson, naturellement !
Mme. Suvon : Oh … Naturellement.
Mme. Boulange : Bon, Madame Suvon. Est-ce que vous avez vu une jeune femme, qui a regardé par la fenêtre ?
Mme. Suvon : Quelle fenêtre ?
Mme. Boulange : Une fenêtre de la maison observée, naturellement.
Mme. Suvon : Oui, j’ai vu une femme, qui a regardé par la fenêtre.
Mme. Boulange : Bon. Merci. C’est tout ?
Mme. Suvon : No. J’ai conversé avec lui.
Mme. Boulange : Conversé … Alors, vous connaissez cette femme, c’est ça ?
Mme. Suvon : Oui … No … J’ai voulu dire : un peau.
Mme. Boulange : Vous voulez expliquer, s’il vous plaît ?
Mme. Suvon : J’ai fait sa connaissance samedi, dans le train pour Cannes.
Mme. Boulange : Et qu’est-ce que vous avez discuté dans le train ? Qu’est-ce que elle a dit ?
Mme. Suvon : Elle a été à Dijon et a voyagé à Cannes.
Mme. Boulange : Pourquoi ?
Mme. Suvon : Je ne sais pas. Je n’ai pas demandé. Notre conversation a terminé en l’espace de deux minutes.
Mme. Boulange : Ah. Et à Cannes : vous avez vu quelque chose intéressante ? Quand elle a regardé par la fenêtre et vous avez conversé avec lui ?
Mme. Suvon : Oui. Elle a tenu des lunettes de soleil à la main.
Mme. Boulange : Ah. Les mêmes–
Mme. Suvon : Je ne sais pas ! Je n’ai pas vu très bien. Je suis restée sur ma banc au cours de notre conversation.
Mme. Boulange : Et qu’est-ce que vous avez discuté?
Mme. Suvon : Rien. Les temps, la musique … Rien. Nous avons eu cette conversation seulement par courtoisie.
Mme. Boulange : Courtoisie … Bon, Madame Suvon. C’est tout. Merci beaucoup pour votre serviabilité.
Mme. Suvon : Je vous en prie. Au revoir.
Mme. Boulange : Au revoir.
April 2nd, 2011 at 18:18
Oh, ça continue! 🙂
April 2nd, 2011 at 20:12
Oui. Samedi. 🙂
April 2nd, 2011 at 20:44
🙂
April 2nd, 2011 at 21:11
Jaz bi se tudi smehljala, če bi največjo losuljo v vsej blogosferi prepričala, naj napiše neke vrste krimič v začetniški francoščini in to verjetno v 10 delih … 😆
April 2nd, 2011 at 22:24
🙂
Ja, sej. Do takrat boš res že obvladala 😀 Pa če je začetniška francoščina, potem še kaj razumem 😀
(Sem svoje čase brala inšpektorja Maigreta v “simpl” različici 🙂 Se mi je fajn zdelo 😀 )
April 3rd, 2011 at 16:20
Temu se reče: sama itak ne bi prišla na idejo … Je pa res, da verjamem v treniranje začetniške francoščine, tako da …
A ja, seveda, simpl različice tudi obstajajo … ampak “L’Ombre du Vent” se da prebrati tudi v originalu, bi rekla. Če že dobro poznaš zgodbo … 🙂
May 14th, 2011 at 08:02
[…] Hérisson : Bien, merci. Ma fille est de nouveau à Paris. Elle vous renvoie ces lunettes de soleil. Voilà ! Mr Uz Ho : Merci […]